Le Feu Au Lac
Compagnie Théâtrale
FAKE
Claudine Galea
Disponible saisons 25-26 et 26-27
Deux meilleures amies, lycéennes, se parlent plusieurs dizaines de fois par jour, en ligne, au téléphone, s’invitent l’une chez l’autre. L’une rêve de garçons, l’autre non. La première tombe amoureuse d’un musicien anglais avec lequel elle communique sur les réseaux sociaux*, la seconde la conseille. Elles se confient l’une à l’autre, soliloquent, se piègent dans leurs propres sentiments, leurs aspirations, leurs troubles. Que devient l’amitié fusionnelle de deux adolescentes quand l’amour surgit ? Qu’est-ce que l’amour quand il est pris au piège des mots ?
L’amour se nourrit de déclarations. Le désir, le manque, l’attente sont exaltés par les mots ; et les réseaux sociaux les véhiculent si facilement, si rapidement...
*Nous apprendrons au cours de la pièce que le musicien anglais n’existe que virtuellement puisqu’il n’est autre qu’une invention de la « meilleure amie » qui se fait passer pour ce dernier.
Distribution :
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Texte : Claudine Galea (Édition Espaces 34)
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Mise en scène : Émilie Lafarge
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Avec Clémence Coullon et Agathe Mazouin
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Créatrice musicale : Hélène Debaecker
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Création sonore : Simon Péneau
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Scénographie et lumières : Saskia Louwaard
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Accompagnement chorégraphique : Juliette Roudet
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Régisseurs son et lumière : Félix Depautex et Margot Berger
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Régisseuse générale : Neyla Bourachot
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Production diffusion administration : Les singulières – Léa Serror
FAKE est produit par la Scène Nationale de Bourg-en-Bresse, le Théâtre National de Nice CDN, Sandra Ghenassia productions, avec les soutiens de la DRAC, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, du Jeune Théâtre National, de l'ENSATT. Ainsi que de La Ferme du Buisson, du Théâtre du Rond Point, du Théâtre de La Commune à Aubervilliers et du Théâtre de Roanne.
Un conte, une soupe et au lit
Disponible saisons 25-26 et 26-27
L’idée est de retrouver l’esprit des « veillées », toutes générations et milieux sociaux confondus, dans différents villages autour d’un conte et de créer ainsi des moments d’écoute et de partage, du plus petit au plus ancien. Une première lecture d’un conte classique sera proposée par l’artiste autour d’une soupe concoctée par les habitants d’un village, suivie d’ateliers d’écriture qui permettront d’augmenter et de réinventer le conte « ici et maintenant » pour pouvoir enfin en présenter une mise en voix publique, par les habitants, le soir du « Grand Soir » !
Les contes envisagés pour les saisons à venir (Il est possible de soumettre des propositions à la compagnie) :
Reprise possible d’Hansel et Gretel
Pinocchio (à partir de la version de Collodi)
Le Petit Chaperon rouge (à partir de la version de Charles Perrault)
La Petite sirène (à partir de la version de Andersen)
Ce que je suis en réalité demeure inconnu
Notre recherche s’est portée sur la difficulté à vivre dans la société à travers plusieurs figures tragiques. Il est des personnes pour qui la tâche est trop lourde, ceux « qui n’y arrivent pas », qui butent devant leur destinée et ne sont pas à la hauteur de la vie qui leur est imposée. Ils sont le reflet de nos propres luttes et nous questionnent.
A travers la littérature romanesque et poétiques, le chant et la musique, six acteurs interprètent les membres du groupe Bloomsbury. Ils se retrouvent auprès de Virginia Woolf et composent une partition onirique où se mêlent différentes époques et fictions, entre fantasmagories et réalités, pour former une seule et même histoire, universelle
Distribution
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Montage de textes à partir de Fiodor Dostoïevski L’Idiot, Ivan Gontcharov Oblomov, Virginia Woolf Les Vagues et Léonard Woolf Ma vie avec Virginia
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Création collective dirigée par Emilie Lafarge et Marie-Hélène Roig
Avec Isham Conrath, Thibault Deblache, Émilie Lafarge, Marie Loisel, Hélori Philippot, Marie-Hélène Roig -
Création Lumière, régie générale et son Wilfried Gourdin
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Scénographie Emilie Lafarge, Marie-Hélène Roig
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Production diffusion administration Léa Serror (Les singulières)
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Administration Loyse Delhomme (Les singulières)
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Administration de production Mathis Leroux (Les singulières)
Le Yark
Le problème du Yark, ce monstre tout poilu, c’est qu’il ne peut manger que des enfants sages. En effet, il a l’estomac fragile et les méchants ou les chahuteurs lui donnent la colique. Mais des enfants sages, il n’en trouve plus aujourd’hui et il n'a plus personne à se mettre sous la dent. Tout se perd… Heureusement, la délicieuse petite Madeleine va l’aider à se débarrasser de ses travers. De la difficulté de se dépasser, de se transformer, naît l’aventure de ce chouette monstre.
Le conte de Bertrand Santini est drôle, irrévérencieux et humaniste à la fois. C’est ce qui a séduit Émilie Lafarge, vue aux 3T en avril 2016 dans Tout mon amour (elle jouait la fille perdue), et qui réalise là sa première mise en scène. Adresses au public, chant, danse et guitare, jeu très direct, personnages se déguisant à vue, décor de laine et de bois, rétroprojecteur et magie des grandes ombres, monstre baroque au costume de poils...
Les enfants entrent dans cette jolie histoire rythmée et faussement apeurante en ne perdant pas de vue que nous sommes au théâtre et que nous jouons ! Merveilleux, impertinent, truculent, Le Yark bouscule les normes et invite à la liberté.
Mise en scène : Emilie Lafarge, assistée de Julien Chavrial. Texte : Bertrand Santini (Éditions Grasset-Jeunesse). Adaptation collective : Collectif artistique du Théâtre de Lorient-Centre Dramatique National. Avec : Alban Aumard, Julien Chavrial, Katja Hunsinger. Scénographie, lumières et costumes : Katrijn Baeten, Saskia Louwaard. Son : Yannick Auffret. Vidéo : Vivien Simon. Assistanat à la scénographie : Sylvain Lorain. Production : Théâtre de Lorient-CDN. Soutiens : Résidence, La Ferme du Buisson-Scène Nationale de Marne-La-Vallée, le CENTQUATRE-PARIS.
